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أخر تحديث : الثلاثاء 17 ديسمبر 2019 - 11:00 مساءً
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La technologie peut avoir un impact sur les 17 objectifs de développement durable des Nations Unies

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  • Le déploiement de réseaux haut débit mobiles soutient le développement économique
  • Rapport sur la technologie pour un impact positif: Une plus grande coopération multipartite est nécessaire pour garantir que les avantages de la technologie numérique atteignent tous les objectifs.

Ericsson (NASDAQ: ERIC) a présenté son premier rapport sur les Technologie pour un bon impact àAfricaCom 2019 afin de souligner l’impact sociétal positif permis par la société et ses partenaires. Le rapport, lancé à la veille de l’Assemblée générale des Nations Unies en 2019, met en lumière des cas dans lesquels la technologie et l’expertise d’Ericsson aident à résoudre les problèmes mondiaux, dans les grands thèmes du changement climatique et de la réduction des inégalités.

Lorsqu’un pays adopte le haut débit mobile, il en résulte un développement économique général solide, selon un rapport élaboré en collaboration avec collège Impériale de Londres etRecherche Ericsson.[1]

Selon le rapport, une augmentation de 10% du ratio d’adoption du haut débit mobile entraîne une augmentation de 0,8% du produit intérieur brut en moyenne. Le haut débit mobile permet l’accès à Internet et la fourniture de services numériques pour répondre à un large éventail de besoins de la société, notamment l’accès aux services d’éducation et de santé, l’inclusion financière, l’esprit d’entreprise et la réponse humanitaire, tout en contribuant à réduire les inégalités. Le rapport a appelé à une plus grande coopération multipartite afin de s’assurer que les avantages de la technologie numérique profitent à tous, tout en s’attaquant aux défis qui y sont associés.

FidaKibbi, vice-présidente et responsable du marketing, des communications, du développement durable et de la responsabilité d’entreprise chez Ericsson au Moyen-Orient et en Afrique, a déclaré: « Guidée par les objectifs de développement durable, la collaboration est essentielle pour travailler ensemble à la construction d’un avenir meilleur pour tous. Notre nouvelle étude intitulée Technologie pour un bon impact met en évidence le rôle dynamique que joue le secteur des TIC pour permettre le développement durable en Afrique. ”

En outre, le rapport Technologie pour un bon impact montre comment les technologies de l’information et de la communication (TIC) peuvent avoir une incidence positive sur les 17 objectifs de développement durable de l’Organisation des Nations Unies.

Parmi les points saillants des études de cas du rapport Technologie pour un bon impact en Afrique, citons:

• En République centrafricaine, en collaboration avec l’opérateur télécom Maroc Telecom, Ericsson a lancé un programme de modernisation 3G utilisant une solution hybride solaire pour contribuer à réduire l’empreinte carbone. Les innovations ont abouti à une réduction de 75% de la consommation totale d’énergie du site, tout en maintenant une couverture complète, la qualité et les performances du service, en supprimant la dépendance au diesel et en rendant le solaire plus économique que le diesel pour la première fois.

• La plate-forme de services financiers mobiles (MFS) d’Ericsson fournit des services financiers mobiles de nouvelle génération, faciles à utiliser, sécurisés. Des millions d’utilisateurs mobiles non bancarisés bénéficient désormais de services financiers mobiles. La solution couvre actuellement 13 pays Africains

• Ericsson a lancé le programme Digital Lab, un programme d’éducation novateur destiné aux enfants plus âgés, afin de les aider dans leurs premières rencontres avec le monde de la programmation et des nouvelles technologies. En 2019, le programme a été lancé en Afrique du Sud.

• Ericsson Response a mis en place des services de voix et de données vitaux pour plus de 1700 travailleurs humanitaires dans la région de Beira au Mozambique,en Afrique du Sud-Est, et dans ses environs, lorsque le cyclone Idai a frappé. Plus tard au cours du mois, Ericsson Response a augmenté sa capacité sur le terrain et a réagi à un autre cyclone tout en poursuivant ses travaux à Beira.



[1]https://spiral.imperial.ac.uk/handle/10044/1/46208

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